Entre humour piquant et dessins colorés, les Petites histoires de mes papas & moi réinventent les classiques du conte. Une BD déjà culte dans La Fringale Culturelle, désormais disponible en ligne.
Il était une fois… une princesse capricieuse, un dragon qui a pris un peu trop au sérieux l’idée du barbecue géant, une belle-mère sorcière qu’on n’aurait jamais dû inviter et Tristan qui, décidément, préfère rêver d’un prince charmant plutôt que de sauver une demoiselle en détresse. Voilà le décor de la nouvelle aventure des Petites histoires de mes papas & moi, à découvrir sur miklmayer.fr dès le 21 septembre, avec une page inédite chaque dimanche.
Qu’est-ce que Petites histoires de mes papas & moi ?
Cette série a été créée spécialement pour le magazine La Fringale Culturelle, où elle est publiée depuis 2021. Très vite, elle est devenue l’une des rubriques phares de la revue, appréciée des lecteurs pour son humour, sa légèreté et sa capacité à surprendre à chaque numéro. Aujourd’hui, elle s’invite aussi sur miklmayer.fr, permettant aux internautes de la découvrir ou de la redécouvrir en ligne.
Les Petites histoires se présentent comme des récits indépendants, plus courts et plus accessibles que les grandes sagas. On retrouve Tristan, Florian et Zack dans des situations inédites, tantôt drôles, tantôt tendres, mais toujours décalées. Pas besoin d’avoir lu toute la série principale pour suivre : chaque Petite histoire se lit comme un mini-épisode à savourer en quelques pages.
Une parodie qui se lit à plusieurs niveaux
Cette nouvelle aventure s’amuse à dynamiter les contes de fées. On reconnaît les figures classiques — princesse, dragon, château — mais elles sont toutes revisitées avec un humour décapant. Le récit joue avec les attentes, détourne les clichés et offre une relecture pleine d’esprit de ce qu’on croyait connaître.
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Les dessins, vifs et expressifs, renforcent cet effet comique. Chaque case déborde de couleurs et de détails : la moue agacée de Tristan, l’énergie de Zack, l’air bravache de Florian… tout contribue à donner du rythme et de la personnalité à ce conte déjanté. C’est drôle à lire, mais aussi à regarder.
Et comme un clin d’œil supplémentaire, Arielle Dombasle fait une apparition. Déjà présente dans le tout premier album de Mes papas & moi, elle revient ici dans un passage qui apporte à l’histoire une touche de fantaisie supplémentaire, sans qu’il soit besoin d’en dire plus.
Pourquoi lire cette BD ?
Parce qu’elle fait rire sans se prendre au sérieux. L’histoire s’adresse autant à ceux qui aiment les contes classiques qu’à ceux qui adorent les voir détournés. On se laisse surprendre par le mélange d’absurde et de tendresse, on sourit aux dialogues malicieux et on s’attache toujours un peu plus à cette famille qui s’invente son propre “il était une fois”.
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Parce qu’elle est belle à regarder. Les couleurs éclatantes et les expressions des personnages donnent à chaque page une énergie qui capte l’œil immédiatement. C’est une BD qui se vit autant visuellement que par son texte.
Parce qu’elle touche juste. Derrière les gags et les dragons, la série rappelle qu’un conte de fées n’est pas figé. Les héros ne sont plus les mêmes, les histoires évoluent, et la magie se cache désormais dans la liberté d’aimer et de construire sa famille autrement.
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Et puis parce que c’est une série à suivre dans le temps. Une page chaque dimanche, un rendez-vous qui se déguste lentement, comme une série que l’on attend avec impatience. C’est drôle, frais et réjouissant.
Un rendez-vous à ne pas manquer
Les Petites histoires de mes papas & moi, déjà très appréciées par les lecteurs de La Fringale Culturelle, prouvent qu’on peut réinventer les contes de fées sans perdre leur magie. Entre humour, tendresse et dessins colorés, la série s’installe comme un rendez-vous dominical incontournable.